Statut : Ébauche
Modification: 2004-01-23
Modification: 2004-03-10 YM (ajouté role=ret pour définitions retenues au
glossaire)
Ce document est avant tout un aide mémoire et un guide de rédaction. Il s'adresse aux auteurs du Cadre de Référence Gouvernemental en Gestion Intégrée des Documents.
Il a pour but d'expliquer comment structurer l'information à l'aide de la DTD (DocBook) et l'éditeur XMetal, et de décrire les pratiques de rédaction à adopter pour avoir un produit final uniforme de qualité, accessible à tous les gestionnaires de l'information et les administrateurs du Gouvernement du Québec. Il est important de garder en mémoire que ceux-ci sont nos lecteurs.
Attention: Voici les ajouts faits en date 2004-01-23 et du 2004-03-11que l'on retrouvera dans la section addendum
blockquote
pour les recommandationsVoici quelques particularités d'utilisation avec XMetal.
{CRGGID}/redaction-CRGGID/source/
ou dans un sous dossier de
{CRGGID}/redaction-CRGGID/
pour que la gestion des fragments entre
en fonction, dont la création de l'index et des annotations.emphasis
>. Le texte dans cet élément apparaîtra
automatiquement en italique par défaut. Une mise en évidence plus marquée
s'effectue en ajoutant à l'attribut role="bold"
.Attention: une fois votre texte terminé, prenez le temps de réviser et de compléter les points suivants:
Le style que nous préconisons pour rédiger l'hyperdocument est celui de la rédaction technique. Soit un style informatif qui pourra néanmoins s’inspirer du style journalistique afin de rendre plus vivant le ton de l’exposé. Auparavant, plusieurs considérations techniques doivent être définies. Nous aborderons les points suivants:
Le rédacteur pourra consulter le guide DocBook: The Definitive Guide v.2.0.8 décrivant les éléments de la DTD, ou la version aide de celui-ci.
Dans la section addenda à la fin de ce document-ci, chacun pourra ajouter des points nouveaux à inclure dans le protocole de rédaction.
Les fichiers nécessaires à la rédaction et à la production de
l'hyperdocument se retrouvent sur l'espace collaboratif du GRDS
dédié au projet CRGGID, sous le dossier
{CRGGID}/redaction-CRGGID/
.
L'espace de rédaction est situé sous:
{CRGGID}/redaction-CRGGID/
Voici une brève description des dossiers présents dans l'espace de rédaction:
Dossier | Description |
---|---|
~V indique un numéro de version
du fichier. Ex.: chap_03-amorce_20030711.xml ~ID représente une chaîne servant d'identifiant. Ex.: chap_01-revue-litterature_20030711.xml |
|
apps/ | Contient les applications externes utilisées par la moulinette de publication, dont Apache Ant et FOP. |
artefacts/ | Dossier contenant les images et autres objets externes imbriqués dans le contenu du Guide. À noter que certains exemples employés dans le Guide peuvent être déposés à cet endroit. |
conf/ | Contient les
fichiers de configuration de la moulinette, dont le fichier
FOP-userconfig.xml pour les configuration de FOP. |
doc/ | Contient les documents utilisés
par la moulinette de publication, dont aide-publication.txt (texte
d'aide à la publication) et message-courriel_20030716.txt (gabarit
du message de courriel qui notifie lors d'une nouvelle publication du
Guide. |
DTD/ | Contient les fichiers de la DTD CRGGID (et ceux de DocBook). |
entites/ | Contient le fichier driver qui assemble l'hyperdocument. |
gestion/ | Dossier statutaire pour les documents de gestion liés à l'activité de rédaction. |
protocole-redaction/ | Contient le protocole de rédaction. |
sections-flottantes/ | Contient des fichiers
contenant des sections en cours de rédaction. Lorsqu'une section est achevée,
le contenu du fichier est copié dans un des fichiers de l'hyperdocument
(sources/*.xml ). Le fichier de la section flottante est alors
déplacé dans le sous-dossier
sections-flottantes/sections-integrees/ |
sources/ | Contient les sources de l'hyperdocument. Voir le tableau plus bas |
temp/ | Dossier temporaire utilisé par la moulinette lors de la production de l'hyperdocument. Ne pas utiliser. |
tests/ | On peut utiliser ce dossier pour effectuer divers tests. |
utilitaires/ | Contient l'utilitaire permettant d'installer les gabarits et macros utilisés par XMetal sur les postes du laboratoire. |
xsl/ | Contient l'application XSL de DocBook ainsi que les personnalisations requises pour produire l'hyperdocument. |
Les fichiers XML qui constituent l'hyperdocument sont déposés dans
le dossier {CRGGID}/redaction-CRGGID/sources/
. Voici une liste des
fichiers qui se retrouvent probablement à cet endroit avec une brève
description:
L'emplacement des fichiers XML de développement de l'hyperdocument a été choisi pour les raisons suivantes:
Fichier | Description |
---|---|
~V indique un numéro de version
du fichier. Ex.: chap_03-amorce_20030711.xml ~ID représente une chaîne servant d'identifiant. Ex.: chap_01-revue-litterature_20030711.xml |
|
cadre-reference_~V.xml | Fichier global pour le guide. |
cadre-reference-info_~V.xml | Fichier contenant les métadonnées. |
cadre-reference-corps_~V.xml | Fichier décrivant le corps du document. |
chap_~ID_~V.xml | Fichiers contenant chacun un chapitre du Cadre de référence. |
annex_~ID_~V.xml | Fichiers contenant chacun des annexes du Cadre de référence. |
glossaire_~V.xml | Fichier contenant le glossaire. |
bibliographie_~V.xml | Fichier contenant la bibliographie. |
L'ajout d'un chapitre ou d'une annexe au cadre de référence implique la création d'un nouveau fichier. Les fichiers XML seront créé à l'aide d'un gabarit dans XMetal.
{CRGGID}/redaction-CRGGID/entites/contenu.ent
: créer une nouvelle
entité générale externe et lui donner le chemin système du nouveau fichier.
Prenez note que le nom de l'entité ne comporte pas de mention de version. Le
chemin système doit obligatoirement suivre la convention utilisée par
les autres entités du fichier.{CRGGID}/redaction-CRGGID/sources/cadre-reference-corps.xml
Inscrire l'appel de l'entité dans le document XML parent approprié.Prenez note que l'ajout, la modification, le retrait ou le déplacement d'une section à un chapitre existant n'affecte en rien la structure de fichiers ni la stratégie d'entités générales du fichier driver.
Simplement ouvrir le fichier devant être modifié dans l'éditeur XMetal. Celui-ci devrait alors être reconnu par les macros prennant en charge les fragments du guide et le message « Fragment CRGGID activé » s'affichera dans la barre de statut de l'application.
Pour être reconnu en tant que fragment CRGGID, un fichier doit comporter les deux items suivants:
L'instruction de traitement xm-well_formed
de
XMetal qui indique à l'application que le document doit être édité en mode
well-formed. Ce mode d'édition lie l'instance XML à la
DTD sans toutefois valider.
<?xm-well_formed path="S:\redaction-CRGGID\DTD\crggid.dtd"?>
Cette instruction de traitement permet d'associer l'instance XML
à la DTD sans utiliser la déclaration du type de document DOCTYPE
.
Elle doit apparaître dans le prologue du document XML.
L'instruction de traitement crggid
qui identifie
l'instance XML comme étant un fragment du guide et active les macros.
<?crggid fragment="section"?>
Le pseudo-attribut fragment
n'est pas utilisé par
les macros et est réservé pour un développement ultérieure. Il sert à
identifier le nom de l'élément qui chapeaute le fragment (l'élément racine du
fragment). Cette instruction de traitement doit obligatoirement être située
après l'élément racine du fragment (à la fin du document).
Note: On a parfois observé un bogue lié au fait qu'un fichier constituant un fragment du guide était ouvert en même temps que l'application XMetal, c'est-à-dire lorsqu'on sélectionne à partir de l'explorateur Windows l'item Edit in XMetal du menu contextuel du fichier XML. Dans ce cas, il se peut que le fragment du guide ne soit pas reconnu par les macros. La solution consiste alors à fermer XMetal et à procéder en deux étapes, soit en premier lieu ouvrir l'application XMetal et ensuite ouvrir le fichier XML.
On peut rédiger une section du guide à l'extérieur du guide. Il
s'agit alors d'une section flottante. De telles sections sont
crées à l'aide du gabarit Section
de XMetal, sous l'onglet CRGGID.
Les sections flottantes sont placées dans le dossier
{CRGGID}/redaction-CRGGID/sections-flottantes/
. Lorsqu'une section
flottante est jugée prète à être intégrée dans le guide, on procède par
copier-coller du code source vers le chapitre approprié du guide. Le fichier de
la section flottante est ensuite transféré dans le dossier
{CRGGID}/redaction-CRGGID/sections-flottantes/sections-integrees/
pour éviter de mélanger des sections en élaboration de celles déjà intégrées au
guide.
Tous les fichiers du Guide suivent les conventions de versionnage
utilisée au GRDS, à l'exception des fichiers du dossier
{CRGGID}/redaction-CRGGID/DTD/
. Le versionnage se fait a
priori, c'est-à-dire que l'on crée d'abord une nouvelle version du
fichier et on travaille sur celle-ci plutôt que sur l'ancienne.
Notez qu'il n'est pas prévu de versionnage pour les artefacts tels les images et autres objets que l'on veut intégrer au Guide.
Version des fichiers entités en cours de rédaction: Le fichier contenu.ent doit être versionné à chaque nouvelle publication de l'ébauche de l'hyperdocument.
Versions publiées: Les « versions
publiées » de l'hyperdocument sont versionnées. Le schème servant à
identifier chaque parution n'est pas la date courante, mais plutôt un numéro
décimal séquentiel (0.1
, 0.2
, 0.3
,
etc.), l'objectif étant que la version finale de l'hyperdocument porte le
numéro 1.0
.
Les points suivants sont des directives à suivre pour l'organisation de la structure de rédaction. En guise d'exemple, nous reproduisons, ci-dessous, la structure générale de l'ouvrage avec DocBook.
Book<book>
Préface<preface>
Partie<part>
Chapitre<chapter>
Section<section>
En-tête: métadonnées<sectioninfo>
Titre<title>
Texte<para>
Titre flottant<bridgehead>
Sous-section<section>
En-Tête: métadonnées Titre Texte Titre flottant Bibliographie<bibliography>
Glossaire<glossary>
Annexes<appendix>
Index<index>
id
Chaque identificateur inscrit dans le Guide doit absolument respecter les critères suivants:
Les identificateurs doivent être structurés et facilement
compréhensibles. À cette fin, il importe de créer des regroupements selon les
divers usages des identificateurs du document. Ces regroupements sont obtenus
en utilisant un préfixe commun pour les identifiants de même usage. Par
exemple, une référence bibliographique aura le préfixe ref
:
ref_xpath-1.0
Pour voir la liste des préfixes utilisés pour regrouper les identificateurs uniques, reportez-vous à l'annexe.
L'attribut xreflabel
est utilisé par l'ensemble des
éléments (portions de texte) qui pourront être lié à l'aide de liens
hypertextes internes et qui devront avoir un libellé constant. La chaîne de
caractères contenue dans cet attribut sera alors inscrite comme texte de
l'hyperlien quand il s'agit d'un lien xref
.
Cette façon de procéder réduit le temps de rédaction et assure l'uniformité des appels pour une même référence en plus de conserver en un endroit unique la chaîne de caractères facilitant ainsi sa modification.
La valeur inscrite dans l'attribut lang
doit être un
code alpha-2 de la norme des codes de langue ISO 639-1. Cet attribut de base
sera modifié seulement pour les éléments de l'hyperdocument qui seront rédigées
en une autre langue que le français. La langue par défaut est le
français.
La section est l’unité de base de la rédaction. Elle est un texte autonome, autosuffisant et complet en lui-même. Elle doit comporter minimalement une introduction, un développement et une conclusion propre. Des graphiques, des figures et des tableaux peuvent y être inclus, ainsi que des citations, des procédures, des notes de bas de pages et des annotations. Elle peut contenir, au besoin, des sous-sections. Nous pouvons insérer des pointeurs vers d’autres sections ou des références et établir des liens Internet vers des pages Web ou des documents en lignes.
Utiliser l'élément section
lors de la création d'une
section. Cet élément est récursif donc peut s'inclure lui-même pour décrire les
sous-sections.
Cet élément doit toujours avoir un identificateur explicite incluant
le préfixe « sec
». Par
exemple:
<section id="sec_notion-document"> <title>La notion de document</title> <!-- Le reste de la section ici... --> </section>
Il n'y a pas comme tel d'élément sous-section dans les éléments de
DocBook que nous avons retenus (CRGGID). Pour réaliser une sous-section, il
faut réitérer l'élément <section>
à l'intérieur des éléments
<section></section>
. Dans ce cas-ci
<section>
doit être introduit en cours de rédaction à la
suite du texte déjà écrit. Cet élément ne peut pas être inséré à l'intérieur
d'un texte, par exemple, entre deux paragraphes. Sinon, XMetal ne validera
pas.
Une particularité de DocBook fait en sorte qu'une section inscrite à
l'intérieur d'une autre section ne peut pas être suivie par du texte. Ainsi la
structure suivante n'est pas valide puisqu'un élément para
a été
placé à la suite d'un élément section
.
<section> <title>Un titre de section</title> <para>Bla bla bla</para> <section> <title>Le titre de la sous-section</title> <para>Un peu plus de bla bla bla</para> </section> <para>Toujours un peu plus de bla bla bla</para> </section>
La sous-section sera utilisée pour séparer une section en plusieurs
parties, chaque division développant un sujet secondaire relativement autonome
et important dans la structure. Si le sujet ne constitue pas un développement
assez important, ou, s'il se rattache directement au texte précédent et
continue à développer un de ses aspects, il est préférable d'utiliser le titre
flottant bridgehead
.
Contrairement à HTML, la section ne peut pas avoir plus d’un
titre de premier niveau. Il n’y a pas non plus moyen de hiérarchiser dans
la structure d’autres titres secondaires. A cet effet, nous utiliserons
le titre flottant soit l’élément bridgehead
.
Nous évaluons présentement l'utilité des en-tête en lien avec le CRGGID. Il est donc présentement conseillé de limiter son utilisation.
L’en-tête doit apparaître au tout début d’une section. Ce bloc informatif doit apparaître avant le titre de la section. On doit utiliser les éléments suivant :
<section id="sec_environnement-legislatif-normatif"> <sectioninfo> <abstract> <para>Ce module (inséré dans la partie introductive de la méthodologie) met l'emphase sur les aspects juridiques qui sont reliés aux documents technologiques et dont il faut tenir compte dès sa création,durant leur traitement et tout au long de leur cycle de vie.</para> </abstract> <!-- etc. --> </sectioninfo> <title>Le titre de la section</title> <!-- Le corps de la section débute ici... --> </section>
N.B.: l'en-tête n'est pas requise pour les sous-sections.
<abstract>
Le texte d’un résumé doit être court (15 lignes) et inclus dans
l'élément abstract
formant ainsi un bloc de texte indépendant du
corps de la section. Il devrait comporter un titre propre.
Le seul élément que nous utiliserons pour encadrer du texte dans des
paragraphes est para
. Nous n’utiliserons pas la balise
<formalpara>
. Pour plus d’information consultez [DefGuide].
<procedure>
Le bloc procedure
peut être utilisé de préférence au
début de la section pour introduire des procédures méthodologiques. Il contient
les éléments suivants : title
, step
,
para
. Nous pouvons introduire au besoin l'élément :
itemizedlist
à l'intérieur de l'élément step
.
Exemple:
<procedure>
<title>
Étapes préparatoires</title>
<step>
Débuter la préparation</step>
<step>
Bien se préparer</step>
<step>
Vérifier que l'on est bien préparé</step>
<step>
Terminer la préparation</step>
</procedure>
Plusieurs éléments de Dockbook peuvent être utilisés pour introduire
une liste: calloutlist
, listitem
,
orderedlist
, segmentedlist
, simplelist
,
variablelist
. Nous avons résolu d'utiliser
itemizedlist
de préférence à tout autre liste. Par contre pour une
liste ordonnée (avec numérotation), employer ordoredlist
. Si on ne
veut pas d’une liste avec des puces, on peut utiliser
simplelist
.
<simplelist>
liste sans puces<itemizedlist>
liste avec puces<orderedlist>
liste numérotéeL’élément variablelist
peut être considéré
uniquement quand il s’agit de donner un terme (ou un concept) et sa
définition. L'équivalent HTML est l'élément dl
.
Deux traitements stylistiques peuvent être appliqués à
variablelist
. Chaque item de liste peut être traité comme un bloc
ou comme un item de liste (plus compact), tel qu'illustré dans les exemples qui
suivent:
Stylage bloc:
Terme 1 Description du terme 1 Terme 2 Description du terme 2 Terme 3 Description du terme 3
Stylage list:
Terme 1 Description du terme 1 Terme 2 Description du terme 2 Terme 3 Description du terme 3
Le traitement par défaut est celui bloc. On peut préciser à chaque
élément variablelist le traitement alternatif en insérant les instructions de
traitement associées à la sortie xsl:fo
(<?dbfo?>
) et html
(<?dbhtml?>
) sous l'élément vairablelist comme suit:
<variablelist> <?dbfo list-presentation="list"?> <?dbhtml list-presentation="table"?> <varlistentry> <term>Terme 1</term> <listitem> <para>Description du terme 1</para> </listitem> </varlistentry> <term>Terme 2</term> <listitem> <para>Description du terme 2</para> </listitem> </varlistentry> <term>Terme 3</term> <listitem> <para>Description du terme 3</para> </listitem> </varlistentry> </variablelist>
### table
et informaltable
Les tableaux créés dans l'hyperdocument doivent tous avoir un titre significatif succint.
Cet élément doit toujours avoir un identificateur explicite incluant
le préfixe tab
.
Les illustrations insérées dans le Cadre de référence doivent toujours
avoir un titre significatif. Pour ce faire utiliser exclusivement les
figure
ou mediaobject
. L'élément graphic
ne doit pas être utilisé car il sera écarté dans la cinquième version de
DocBook.
Utiliser préférablement des formats provenant de normes ouvertes. Par exemple, le format d'images PNG plutôt que GIF, SVG au lieu de Flash pour les images vectorielles.
Toujours fournir un texte de remplacement.
Pour les types d'illustrations appropriés, fournir lorsque nécessaires des alternatives dans des formats plus simples ou plus normalisés. Par exemple, une image pourrait être décrite comme remplacement à une séquence vidéo pour le média papier. Le nom du fichier devra rester le même pour toutes les alternatives, les extensions permettront d'identifier les fichiers.
Les fichiers illustrations seront déposés dans le dossier "illustration" de la structure de dossiers dédiés à la rédaction.
Cet élément doit toujours avoir un identificateur explicite incluant le préfixe approprié.
literallayout
On utilisera les éléments literallayout
(niveau bloc) et
literal
(niveau ligne)pour insérer des exemples de code
verbatim.
L'attribut class
sert à indiquer le type de police à
employer. Les valeurs possibles sont: normal et monospace. On doit
toujours employer la valeur monospace quand l'exemple verbatim
contient du code XML ou provenant d'un langage de programmation.
Le contenu de l'élément literallayout
conservera
intégralement son apparance d'origine, y compris l'indentation produite par une
succession d'espaces, de caractères de tabulation, etc. Les longues lignes ne
sont pas tronqués, ce qui peut résulter en un masquage de fins de lignes trop
longues pour être contenues dans un format d'affichage donné. Il est donc
conseillé de vérifier le rendu visuel des verbatims pour les formats Web et
PDF.
Une solution mise de l'avant pour provoquer un retour de ligne sur les
longues lignes consiste à mettre dans l'attribut role="wrap"
. Une
limitation de cette solution est qu'uniquement le contenu textuel de
l'élément literallayout
sera traité. Les éléments XML présents
(par exemple des renvois co
à une liste calloutlist
,
de l'emphase ou des hyperliens) seront ignorés. Il n'est pas nécessaire de
mettre la valeur wrap
dans l'attribut role lorsque le contenu de
literallayout
est constitué uniquement de texte (sans sous
éléments) puisque l'application XSLT l'ajoute automatiquement lors du
pré-processing (fichier copier.xsl).
Cet élément doit toujours avoir un identificateur explicite incluant le préfixe approprié. (Voir aussi à la section Infobulles de l'addendum.)
L’annotation qui est une fonction apparaissant dans la barre d’outil de Xmetal, est utilisé en cours de rédaction pour ajouter un commentaire ou note d'édition; mais elle servira surtout pour la révision du texte par une tierce personne.
Les attributs suivants sont spécifiques à cet élément:
Attribut | Description |
username | Nom d'usager de la personne qui crée l'annotation. Entré automatiquement par une macro avec le modèle de XMetal. |
time | Horodatation de l'entrée. Ajouté automatiquement par la même macro. |
initials | Au besoin, entrer les initiales de l'auteur de l'annotation. Utile pour le repérage dans la liste des annotations. |
comment | Le contenu de l'annotation. |
<section> <title>Savez-vous planter des choux</title> <para><annotation comment="Compléter!" initials="CR" username="remillc" time="4 juillet, 2003 16:36:44">à la mode, à la mode...</annotation> </para></section>
Les annotations sont des commentaires destinés à la communauté des auteurs du document. Elles ne feront pas partie du document publié.
Cet élément doit toujours avoir un identificateur explicite incluant
le préfixe edit
.
<xref>
et
<ulink>
N.B.: ne pas mettre d'hyperlien dans les titres
Le rédacteur peut inclure différents types de liens dans le texte de l'hyperdocument:
Pour pointer vers une autre partie de l'ouvrage, utilisez l'élément et les attibuts suivants:
<xref linkend= ""/>
Pour des exemples et plus de détails, voir: "DocBook: the definive guide 2.0.8."
Pour établir un hyperlien vers un site Web, utilisez
l'élément suivant: <ulink>
Exemple:
<para> For more information, see the O'Reilly catalog entry for <ulink url="http://www.ora.com/catalog/tex/"><citetitle>Making TeX Work</citetitle></ulink>. </para>
Le titre de l'ouvrage cité, qui apparaîtra en bleu dans le texte
souligné, devra être inscrit entre les balises
<citetitle></cititle>
"The ULink element forms the equivalent of an HTML anchor
(<a href="...">
) for cross reference by a Uniform Resource
Locator (URL)."
<xref>
Donner des exemples simples de la personnalisation via l'attribut xrefstyle
<para>... consultez le <xref xrefstyle="template:chapitre %n - %t" linkend="chap_amorce"/>.</para>
résultat HTML:
<p>Pour plus d'information, consultez le <a title="Chapitre 5. Pourquoi une méthodologie ?" href="#chap_amorce-sommaire">chapitre 5 - <i>Pourquoi une méthodologie ?</i> </a>.</p>
Résultat visible à l'impression:
Pour plus d'information, consultez le chapitre 5 - Pourquoi une méthodologie ? [37].
Les URIs insérés dans le corps de texte causent souvent des problèmes d'affichage en raison de leur longueur excessive, en particulier lorsque le texte est justifié. La solution traditionnelle consiste à insérer des caractères blancs invisibles qui serviront de points de cassure pour le changement de ligne. Deux solutions sont possibles avec l'application XSLT développée pour le CRGGID:
role
Insérer l'URI dans l'élément phrase
et inscrire
dans son attribut role
la valeur « uri » (en minuscule).
L'application XSL se chargera d'insérer un caractère blanc invisible après
chaque caractère « / » ou « : » contenu dans l'URI.
Par exemple:
<para>Bla bla bla
<<phrase role="uri">http://www.exemple.com/foo/bar/toc/zouf/vlan</phrase>
> et on continue par là …
</para>
Donne au rendu PDF:
Bla bla bla
<http://www.exemple.com/foo/toc/
zouf/vlanbar> et on continue par là
…
Cette solution ne fonctionne qu'avec le format de sortie PDF.
sbr
(soft
break)
Insérer l'instruction de traitement sbr dans une chaîne de caractère pour indiquer un endroit de cassure potentiel.
Par exemple:
<para>Bla bla bla http://www.exemple.com/foo/bar/toc/<?sbr?>zouf/vlan et on continue par là … </para>
Donne au rendu PDF:
Bla bla bla
<http://www.exemple.com/foo/toc/
zouf/vlanbar> et on continue par là
…
Afin de faciliter la redaction, nous suggérons d’utiliser la
double arobas @@
en cours de texte lorsqu’il s’agit
d’intégrer une référence. L’arobas sera accompagnée d’une
annotation comme aide mémoire
pour préciser la nature de la référence. Après la rédaction du texte, il sera
plus facile ainsi de compléter en ajoutant des liens aux endroits marqués. Ce
truc pourra aussi être utilisé pour les notes en bas de page.
Exemple | Commentaire |
---|---|
@@ref |
Un lien interne pointant vers une référence bibliographique à venir. |
@@sec | Un lien interne vers une section qui n'est pas encore écrite. |
Par exemple:
<para> … il est possible d'appliquer le premier degré du <annotation username="hameljf" initials="JFH" time="17 octobre 2003 16:40:15" comment="Peut-être faire une entrée et un lien au glossaire"> @@ref principe de respect des fonds</annotation> puisqu'il permet d'identifier … </para>
Sinon, lors de l'insertion d'un appel d'une nouvelle référence bibliographique, vous devez prendre le temps d'insérer à l'endroit approprié les éléments bibliographiques nécessaires pour la création de la bibliographie.
Cet élément doit toujours avoir un identificateur explicite incluant le préfixe approprié.
Contrairement à l'exemple inclu dans la documentation, la balise citetitle possédant l'attribut pubwork, attitré à la saisie du type du document, doit être utilisée pour saisir le titre de la référence bibliographique à la place de la balise title. Référence : http://lists.oasis-open.org/archives/docbook/200202/msg00157.html
La bibliographie est une partie autonome dans l'hyperdocument
Le style bibliographique à utiliser dans le Guide est en voie d’être défini (Voir note dans l'Addendum à la fin). Cependant, il devra supporter tant les documents papier qu'électroniques. La description physique et électronique complète doit fournir des éléments d'information permettant de retrouver le document sur une longue période (404 - l'URL ne suffit pas!!!).
Ainsi, lorsque la ressource est disponible en format papier et électronique, nous inscrirons la référence bibliographique pour le format papier et mettre un hyperlien sur le titre de la resource pour permettre l'accès au format électronique. Ceci assure l'accès à la ressource à long terme.
Voici quelques références électroniques pour écrire des références papier et électroniques:
ATTENTION: le modèle de bibliographie est toujours en élaboration. On devra statuer dans les prochaines semaines. Cette partie du protocole est donc à lire sous toutes réserves.
Exemples:
<biblioentry id="ref-Dherent-2002" xreflabel="Dhérent 2002"> <citetitle pubwork="book"> <ulink url="http://www.archivesdefrance.culture.gouv.fr"> Les archives électroniques </ulink> </citetitle> <subtitle>Manuel pratique </subtitle> <author> <firstname>Catherine</firstname> <surname>Dhérent</surname> </author> <publisher> <publishername>Direction des Archives de France</publishername> <address> <city>Paris</city> <state/> <country/> </address> </publisher> <pubdate>2002</pubdate> <pagenums>104</pagenums> <isbn>2-911601-35-5</isbn> </biblioentry>
<biblioentry id="ref-CRDP-2001" xreflabel="Centre recherche droit public 2001"> <citetitle pubwork="book"> <ulink url="http://www.autoroute.gouv.qc.ca/loi_en_ligne/index.html"> Loi concernant le cadre juridique des technologies de l'information (L.Q. 2001, c. 32)</ulink> </citetitle> <subtitle>texte annoté et glossaire</subtitle> <corpauthor>Centre de recherche en droit public. Faculté de droit. Université de Montréal</corpauthor> <pubdate>2001</pubdate> <publisher> <publishername>Centre de recherche en droit public</publishername> <address> <city>Montréal</city> </address> </publisher> </biblioentry> <biblioentry id="ref-EBSI-2002" xreflabel="EBSI 2002"> <citetitle pubwork="part">Terminologie de base en sciences de l'information : volets 1 et 2</citetitle> <citetitle pubwork="part" role="siteWebOrganisme">Université de Montréal</citetitle> <citetitle pubwork="part" role="siteWebAuteur">École de bibliothéconomie et sciences de l'information</citetitle> <corpauthor>École de bibliothéconomie et sciences de l'information</corpauthor> <bibliosource class="uri"> <ulink url="http://www.ebsi.umontreal.ca/termino/index.htm"> <phrase>(Consulté le 10 février 2003)</phrase> </ulink> </bibliosource> <pubdate>2002</pubdate> </biblioentry> <biblioentry id="ref-Rousseau-Couture-1999" xreflabel="Rousseau, Couture 1999"> <citetitle pubwork="book">Les fondements de la discipline archivistique</citetitle> <citetitle pubwork="part">Glossaire</citetitle> <author> <firstname>Marlène</firstname> <surname>Gagnon</surname> </author> <authorgroup> <author> <firstname>Jean-Yves</firstname> <surname>Rousseau</surname> </author> <author> <firstname>Carol</firstname> <surname>Couture</surname> </author> <collab> <collabname>Florence Arès, Chantale Filion, Marlène Gagnon, Louise Gagnon-Arguin et Dominique Maurel</collabname> </collab> </authorgroup> <publisher> <publishername>. Presse de l'Université du Québec</publishername> <address> <city>Ste-Foy</city> <state>Québec</state> </address> </publisher> <pubdate>1999</pubdate> <pagenums>279-294</pagenums> <isbn>2-7605-0781-5</isbn> </biblioentry>
Pour le moment, le ponctuation n'apparait pas dans l'exemple ci-dessus. Elle sera généré lors du choix du stylage.
Ce qui suit est une suite d'exemple de gabarits contenant les éléments retenues dans DocBook pour une bibliographie.
L'appel à la référence bibliographique pourrait avoir le format suivant :Chaîne de caractères descriptive-espace-année à quatre chiffres. Ceci permettrait de modifier l'appel de références selon le style bibliographique choisi à l'aide d'une expression régulière.
Question envoyée pour la gestion des références uniquement sur support électronique.7 janvier 2003. Une personne de la liste de discussion m'a fait parvenir la façon dont il traitait les références électroniques avec le code xsl:fo permettant de styler ces références.
N.B.: L'élément <biblioentry>
doit toujours avoir
un identificateur explicite incluant le préfixe approprié.
Exemple :<biblioentry id="ref-" xreflabel="">
La majorité des éléments permettant de baliser les références bibliographiques peuvent contenir l'élément servant à créer les hyperliens <ulink>.
Des gabarits pour la saisie des éléments d'une référence bibliographique se retrouve dans au début du fichier bibliographie.xml et ci-dessous.
Christian pourrais-tu vérifier les points ci-dessous.
<quote>
et <blockquote>
Pour citer un passage d'un autre ouvrage, on utilisera
<blockquote>
lorsqu'il s'agit de citer un passage de niveau
bloc, ou <quote>
pour les citations de niveau ligne.
Les citations doivent être saisies sans les guillemets délimiteurs. Ceux-ci seront générés automatiquement par l'application XSL de DocBook, en tenant compte des particularités propres à la langue utilisée.
Par exemple:
<blockquote> <attribution>Richard Dawkins</attribution> <para> The universe that we observe has precisely the properties we should expect if there is, at bottom, no design, no purpose, no evil and no good, nothing but pitiless indifference. </para> </blockquote>
The universe that we observe has precisely the properties we should expect if there is, at bottom, no design, no purpose, no evil and no good, nothing but pitiless indifference.
--Richard Dawkins
L'élément <blockquote>
doit posséder impérativement
l'élément <para>
et peut contenir, comme dans le cas
ci-dessus, l'élément <attribution>
.
La citation de niveau ligne:
<para>This software is provided <quote> as is </quote>, without expressed or implied warranty.</para>
This software is provided "as is", without expressed or implied warranty.
Dans DocBook, plusieurs éléments permettent de constituer des blocs d'information à part du texte.
<caution>
: inserre un texte de mise en garde
contre un bris d'équipement<warning>
: inserre un texte de mise en garde
contre un risque de blessure à une personne<important>
: Inserre une mise en garde hors
texte<highlights>
: Liste les principaux points
d'une discussion. Cet élément peut être utile en tête de chapitre ou de section
dans l'élément <abstract> par exemple<note>
: Un message ou une information sortie
du texte. Une mise en garde du genre "Nota Bene"<footnote>
: note de bas de pageExemple de <footnote> <para> An annual percentage rate (<abbrev>APR</abbrev>) of 13.9%<footnote> <para> The prime rate, as published in the <citetitle>Wall Street Journal</citetitle> on the first business day of the month, plus 7.0%. </para> </footnote> will be charged on all balances carried forward. </para> An annual percentage rate (APR) of 13.9%[1] will be charged on all balances carried forward. For additional examples, see also footnoteref. ------------------------------------------------------------------------- ------- [1] The prime rate, as published in the Wall Street Journal on the first business day of the month, plus 7.0%.
<remark>
: Commentaire d'édition dans un
brouillon.<epitaph>
: Un texte court au début d'un
document. Exergue : pensée, poème, devise<callout>
: Annotation d'une image graphique
dans l'élément <calloutlist>Voir aussi la liste des éléments bloc
Le glossaire contiendra le vocabulaire défini et utilisé dans la méthodologie. Il sert à clarifier les termes et les concepts que nous retiendrons de sorte que le lecteur puisse y référer au besoin. Comme la bibliographie, il forme une partie autonome qui sera en annexe de notre travail.
L'élément <glossentry>
doit toujours avoir un
identificateur explicite incluant le préfixe
approprié.
Exemple : <glossentry id="gloss-document">
Le glossaire est divisé selon les lettres de l'alphabet à l'aide de
l'élément glossdiv
. Le tri se fait correctement par ordre
alphabétique à l'intérieur des divisions.
Les éléments de la bibliographie ne sont présentement pas triés par la feuille de style de Norm Walsh.
Voici un exemple d'une entrée fictive dans le glossaire contenant deux définitions provenant de sources différentes, une remarque et un Voir aussi. Plusieurs autres éléments sont également disponibles pour ajouter d'autres informations selon nos besoins.
<glossentry id="gloss-extreme-markup-language">
<glossterm>eXtreme Markup Language</glossterm>
<acronym>XML</acronym>
<glossdef>
<blockquote>
<attribution>
<citation><xref linkend="ref-XML"/></citation>
</attribution>
<para>Voici la transcription de la définition du terme
trouvé dans la source d'information mentionnée dans
l'appel à la référence bibliographique inscrite dans
la balise "citation".</para>
</blockquote>
</glossdef>
<glossdef>
<blockquote>
<attribution>
<citation><xref linkend="ref-autre-2001"/></citation>
</attribution>
<para>Voici la transcription de la définition du terme
trouvé dans la source d'information mentionnée dans
l'appel à la référence bibliographique inscrite dans
la balise "citation".</para>
</blockquote>
<remark>
Voici une remarque intéressante sur cette définition.
</remark>
<glossseealso otherterm="gloss-SGML"/>
</glossdef>
</glossentry>
N.B.: Pour plus d'exemples et pour voir les gabarits de saisie du
glossaire, voir le glossaire actuel en code source et la partie
explicative en début de document.
Les Voir et Voir aussi sont saisis à l'intérieur
des balises <glosssee otherterm="id"/>
et
<glossseealso otherterm="id"/>
. Les hyperliens
incluant le texte seront ajoutés par la feuille de style appropriée. La langue
d'inscription des renvois utilisés est celle de l'attribut langue de
la balise de plus bas niveau si celle-ci n'est pas indiquée, la feuille de
style remonte jusqu'à l'élément de plus haut niveaubook. L'attribut
langue fait partie des attributs de bases. On peut donc modifier la langue au
niveau de chaque élément contenu dans la DTD DocBook.
Afin d'avoir des appels de référence reliés aux références
bibliographiques il s'agit d'utiliser la syntaxe suivante :
<attribution><citation><xref
linkend="ref-iso-15489-1-2001"/></citation></attribution>
.
L'intitulé de l'hyperlien sera celui de l'attribut xreflabel ou celui
de la balise abbr
de la référence bibliographique si
celui n'est pas présent, par contre il y a alors deux paires de
parenthèses.Vérifier si le format de l'appel de la référence est bien
celui désiré.
Afin de faciliter la saisie des gabarits contenant les balises les plus souvent utilisées, vous pouvez vous référer au début du fichier "glossaire.xml" ou aux gabarits apparaissants ci dessous..
1) gabarit pour ajouter des division au glossaire <glossdiv> <title></title> </glossdiv> NOTE: les entrées du glossaire vont être insérées entre les balises </title> et </glossdiv>. 2)gabarit de saisie des termes du glossaire contenu dans une source d'information avec appel de référence <glossentry id="gloss-"> <glossterm></glossterm> <acronym></acronym> <glossdef lang=""> <blockquote> <attribution> <citation><xref linkend="ref-"/></citation> </attribution> <para></para> </blockquote> <remark></remark> <glossseealso otherterm="gloss-"></glossseealso> </glossdef> </glossentry> 3)Gabarit pour la saisie d'une définition du GRDS <glossentry id="gloss-"> <glossterm></glossterm> <acronym></acronym> <glossdef> <para></para> <remark></remark> <glossseealso otherterm="gloss-"></glossseealso> </glossdef> </glossentry> 4) À la suite d'un couple de balises "paragraphe", ou à l'intérieur de celles-ci on peut ajouter les balises permettant de délimiter un exemple. <informalexample> <para></para> </informalexample> 5) Pour inscrire les termes anglais correspondant aux entrées du glossaire française, insérer à l'intérieur du couple de balises "glossterm", à la suite de la chaîne de caractères représentant le terme, les balises suivantes : <foreignphrase lang="en"> </foreignphrase> Exemple: <glossterm>document numérique <foreignphrase lang="en">electronic document</foreignphrase> </glossterm> NOTE: si dans le texte on parle de la terminologie anglaise celle-ci pourra également être insérée entre les balises "foreignphrase". 6) Des liens hypertextes peuvent être saisis à l'intérieure des balises <para></para><ulink url="http:\\www.google.com">Google</ulink> <ulink url=""></ulink> 7) Gabarit pour les éléments du glossaire avec "voir" seulement <glossentry id="gloss-"> <glossterm></glossterm> <glosssee otherterm="gloss-"></glosssee> </glossentry>
Étant donné que le développement du glossaire et de la bibliographie consiste principalement à l'ajout d'information, on ne devrait pas avoir besoin de versionnage.
Si plusieurs utilisateurs travaillent sur les mêmes fichiers, un dossier bidon avec le nom de la personne et la date du retrait pourrait être créé.
NOTE : L'identification des termes du glossaire qui seront utilisés dans le glossaire du projet PIAF se fera au niveau des élément "glossentry" avec l'attribut "role". La sémantique de la chaîne de caractères contenu dans cet attribut sera "identifiant du projet-section à laquelle la définition s'applique" exemple: role="PIAF-1".
<indexterm>
Chaque entrée d'index est représentée par l'élément
indexterm
. En voici la structure:*
indexterm ::= (primary?, ((secondary, ((tertiary, (see|seealso+)?)| see|seealso+)?)| see|seealso+)?)
* Tiré de: [DefGuide]
L’index sera créé à la toute fin. Les entrées d'index seront inscrite dans le corps du document, c'est-à-dire en contexte.
Décrire la façon dont les exemples seront inscrits dans le texte format ligne ou bloc.
Ce qui suit est un rappel des principes de base qui sous-tendent un "bon texte". Il doit d'abord répondre aux quatre conditions de base suivantes:
Nous ajouterons qu'un "bon texte" doit s'adresser à ses lecteurs et correspondre à leurs intérêts, leurs connaissances et leur niveau de lecture.
Ainsi, un "bon texte" est:
Le style rédactionnel qui convient à un ouvrage technique est un style informatif dénué de tout attribut littéraire. Cependant, pour rendre plus vivant le texte et faciliter sa lecture, quelques astuces journalistiques sont utiles :
Le titre sera gai mais sans familiarité:
La norme est d’utiliser un seul temps de narration : le présent de l’indicatif ou le passé composé. L’indicatif présent sert à décrire les actions en cours et les remarques intemporelles. Le passé composé sert uniquement à relater les actions passées. Les temps secondaires sont le futur simple et le conditionnel présent. En toute circonstance, il faut respecter la concordance des temps.
Cependant, l'imparfait (sauf avec le conditionnel) et le passé simple sont à proscrire.
Dans le mode de narration, nous pouvons alterner entre le style direct (à privilégier) et le style indirect afin de rompre la monotonie. Dans un ouvrage technique où l’auteur et, a fortiori, le rédacteur doit s’effacer devant son sujet, le « NOUS » collectif est obligatoirement de mise. Quant à l’emploi du « ON », il est habituellement réservé au français parlé.
Dans un ouvrage technique où l’auteur et, a fortiori, le rédacteur doit s’effacer devant son sujet, le « NOUS » collectif est obligatoirement de mise. Quant à l’emploi du « ON », il est habituellement réservé au français parlé.
Le CRGGID est un projet gouvernemental et à ce chapitre, nous devons nous conformer à la politique gouvernementale concernant l’utilisation du français dans l’administration publique.
En bref, voici quelqes lignes directrices:
Comme il y aura plusieurs termes anglais utilisés en informatique, nous metterons ces mots en italiques
Avant d'utiliser les mots étrangers, même entre guillement, il faut vérifier l'équivalent français (voir: OQLF) car il peut y avoir confusion.
Afin d’obtenir un texte clair, précis et concis il est recommandé d’établir d’abord un plan et de soigner la construction des divisions et des phrases elles-mêmes, ainsi que le choix des mots.
Ériger un plan ou non dépend de la façon de travailler du rédacteur et cette règle qui facilite pourtant la clarté de l’exposé ne peut-être imposée.
En théorie et en pratique, un ouvrage peut se diviser de la façon suivante:
En partie | |
En chapitre | <60 pages (avec titre) |
En section | <10 pages (avec titre) |
En sous-section | <3 pages (avec titre "accrocheur") |
En paragraphe | <1 page |
En sous-paragraphe | <15 lignes |
Dans son travail de rédaction, le rédacteur travaillera principalement aux niveaux des section et des sous-sections avec "DocBook". Voici quelque lignes directrices pour la construction des subdivisions.
Accrocheur ou non, un titre doit refléter une seule idée: celle du sujet qui sera développé. Un titre accrocheur pourra ètre celui qui utilise une forme interrogative. Il ne s'agit pas ici de rentrer dans une forme fantaisiste.
La première phrase qui suit le titre doit rappeler le thème énoncé dans le titre et, si possible, annoncer ce qui suit.
La phrase «chapeau» (l'attaque) ou "lead" en anglais journalistique apparaît en début de section ou sous-section. Elle est une sorte de résumé introductif qui répond à ces questions: d'où, où et comment se développe le sujet.
La phrase de clôture se retrouve à la fin d’une section ou sous-section un peu à la manière d’une conclusion. Elle sert habituellement à clore le sujet développé auparavant et à introduire ce qui vient.
Il est important de développer une idée dans un seul paragraphe et de faire un alinéa lorsqu’une nouvelle idée se présente. Ceci, afin d’éviter la confusion et permettre une lecture facile.
De plus, l’argumentation se déroule de manière logique et linéaire de sorte qu’une prémisse se déduise de la précédente jusqu’à la conclusion.
En règle générale, il ne faut jamais commencer un paragraphe par un pronom sauf le «Nous» collectif ou dans le cas du style indirect.
Nous faisons ici un rappel sur la construction des phrases dans une rédaction technique. Une phrase dasn un style informatif est d'abord une phrase courte de moins de 35 mots et d'au plus trois propositions. Il ne doit pas y avoir surenchère d'épithètes et d'adverbes.
Les caractéristiques suivantes doivent se retrouver:
Voici quelques conventions d’écriture que nous adopterons. Le
tableau ci-dessous montre un rappel des conventions typographiques pour les
textes français. Notons que les espaces insécables devront être signalées
manuellement par le rédacteur à l’aide de l'entité
&nbsp;
introduite avant le Signe approprié.
Appellation | Avant le signe | Signe | Après le signe |
Point final | Pas d'espace | . | Espace |
Virguel | Pas d'espace | , | Espace |
Trait d'union | Pas d'espace | - | Pas d'espace |
Point de suspension | Pas d'espace | … | Espace |
Point virgule | Espace insécable | ; | Espace |
Point d'interrogation | Espace insécable | ? | Espace |
Point d'exclamation | Espace insécable | ! | Espace |
Deux points | Espace insécable | : | Espace |
Petit tiret | Espace | - | Espace |
Grand tiret | Espace | — | Espace |
Barre oblique | Pas d'espace | / | Pas d'espace |
Pour cent (*) | Espace | % | Espace |
Parenthèse ouvrante | Espace | ( | Pas d'espace |
Parenthèse fermante | Pas d'espace | ) | Espace |
Crochet ouvrant | Espace | [ | Pas d'espace |
Crochet fermant | Pas d'espace | ] | Espace |
Guillemet français ouvrant (**) | Espace | « | Espace insécable |
Guillemet français fermant (**) | Espace insécable | » | Espace |
Guillemet anglais ouvrant + phrase | Espace | " | Pas d'espace |
Guillemet anglais fermant + phrase | Pas d'espace | " | Espace |
* Le symbole % est traité en français comme une abréviation et donc suit les mêmes règles qu'un mot isolé.
** Cette convention, peut varier d'une éditeur à l'autre.
N.B.: Le point-virgule (;) sert à séparer des propositions indépendantes, qui, le plus souvent, ne possèdent pas de lien logique entre elles. Son utilisation est donc déconseillée dans des textes techniques (sauf pour les énumérations). Mieux vaut faire des phrases courtes.
Une bibliographie est une section d'un document contenant une liste de références biblipgraphiques.
Une référence bibliographique est une notice identifiant un document donnant auteur, titre et source, c'est-à-dire toutes les précisions nécessaires pour se procurer le document. [GDT]
Pointeur situé dans le corps du texte lié à une référence bibliographique.
Voici la liste des préfixes utilisés pour regrouper les identificateurs uniques. Le préfixe est séparé du nom de l'identificateur par un trait de soulignement "_". Les préfixes doivent être courts mais explicites. Sauf mention contraire les éléments listés ci-dessous doivent avoir un identificateur générique d'inscrit au moment de leur création.S.V.P. Veuillez tenir cette liste à jour ainsi qu'inscrire la date de dernière modification.
Date de dernière modification : 17 octobre 2003.
partintro
)NOTE: Lorsque la ressource est disponible en format papier et imprimé inscrire la référence bibliographique pour le format papier et mettre un hyperlien sur le titre de la resource pour permettre l'accès au format électronique. Ceci assure l'accès à la ressource à long terme. 1) Gabarit pour l'ajout de division dans la bibliographie: <bibliodiv> <title></title> </bibliodiv> 2) Gabarit pour la saisie des entrées bibliographiques Le format de saisie pour l'attribut "xreflabel", qui servira d'appel bibliographique, est auteur-espace-date si deux documents d'un même auteur ont la même date faire suivre d'une lettre minuscule. exemple: Girard 2002a et Girard 2002b exemple de code: <biblioentry id="ref-iso-15489-1-2001" xreflabel="ISO 15489-1 2001"> <biblioentry id="ref-" xreflabel=""> <authorgroup> <author> <firstname></firstname> <surname></surname> </author> <author> <firstname></firstname> <surname></surname> </author> <collab> <collabname></collabname> </collab> <corpauthor></corpauthor> <othercredit> <firstname></firstname> <surname></surname> <contrib></contrib> </othercredit> </authorgroup> </authorgroup> <citetitle pubwork=""></citetitle> <copyright> <year></year> <holder></holder> </copyright> <edition></edition> <isbn></isbn> <publisher> <publishername></publishername> <address> <city></city> <state></state><country></country> </address> </publisher> <pubdate></pubdate> <subtitle></subtitle> <pagenums></pagenums> </biblioentry> NOTE : éliminer les balises non utilisées. Voici les balises pertinentes pour les articles, les insérer sous l'élément "biblioentry": <volumenum></volumenum> <issuenum></issuenum> <issn></issn> 3) Gabarit pour insérer des hyperliens dans les éléments de la référence bibliographique gabarit : <ulink url=""></ulink> exemple : <citetitle><ulink url="http:\\www.google.com">Google</ulink> </citetitle> 4)gabarit pour saisir les ressources électroniques, cette partie est insérée sous l'élément "biblioentry" <bibliosource class="uri"> <ulink url="">http://www.acme.com/exemple</ulink> <phrase>(Consulté le 2003)</phrase> </bibliosource> exemple: <bibliosource class="uri"> <ulink url="http://www.columbia.edu/cu/cup/cgos/idx_basic.html"> http://www.columbia.edu/cu/cup/cgos/idx_basic.html <phrase>(Consulté le 11 janvier 2002)</phrase> <medialabel>[en ligne]</medialabel></ulink> </bibliosource> Exemple fictif, comportant plusieurs balises : <biblioentry id="ref-ISO-15489-2001" xreflabel="ISO 15489-1 2001"> <authorgroup> <author> <firstname>Andrea</firstname> <surname>Bahadur</surname> </author> <author> <firstname>Mark</firstname> <surname>Shwarek</surname> </author> <collab> <collabname>Diane Girard</collabname> </collab> <corpauthor>Université de Montréal</corpauthor> <othercredit> <firstname>Mark</firstname> <surname>Shwarek</surname> <contrib>dessin</contrib> </othercredit> </authorgroup> <copyright> <year>1974</year> <year>1975</year> <holder>Product Development International Holding N. V.</holder> </copyright> <isbn>0-88459-021-6</isbn> <publisher> <publishername>Plenary Publications International,Inc.</publishername> </publisher> <pubdate>2001</pubdate> <citetitle pubwork="book">Kites</citetitle> <subtitle>Ancient Craft to Modern Sport</subtitle> <pagenums>988-999</pagenums> <bibliosource class="uri"> <ulink url="http://www.columbia.edu/cu/cup/cgos/idx_basic.html"> http://www.columbia.edu/cu/cup/cgos/idx_basic.html <phrase> (Consulté le 11 janvier 2002)</phrase> <medialabel>[en ligne] </medialabel> </ulink> </bibliosource> </biblioentry>
<sectioninfo>
<bibliosource>
<abstract>
<para>
<formalpar>
<blocquote>
<tip>
<caution>
<warning>
<important>
<highlights>
<note>
<epigraph>
<annotation>
<remark>
<citation>
<callout>
Voir aussi la section Citations et ce qui suit, ou consultez [DefGuide].
Dans cette section du protocole de rédaction, chacun pourra ajouter des points nouveaux à inclure dans le protocole de rédaction.
Pour mettre en caractères gras du texte, il suffit
d'utiliser l'élément <emphasis>
et de lui ajouter la valeur
bold
dans l'attribut role
: role= "bold"
.
Par défaut, l'élément <emphasis>
met le texte en
italic. Il n'y a pas de "souligné", celui-ci étant réservé aux
hyperliens.
Les hyperliens sont toujours mis entre chevrons < > par convention: <http://fr.yahoo.com/>
Utiliser la feuille de style "CRGGID.xsl" pour ajouter ou modifier les templates afin d'obtenir la présentation adéquate.
Attention lors de la redéfinition d'un template pour un élément s'il est représenté dans la feuille de style initiale par plus d'un élément ayant des niveaux de priorités différents.
Plusieurs éléments dans le fichier html résultant de la transformation XSL possède des classes, une partie importante de la présentation peut donc être décrite dans le fichier "CRGGID.css".
Lors de la réunion du jeudi 22 janvier, nous avons statué sur les points suivants:
Lors de la réunion du 22 janvier p.m., nous avons défini quatre niveaux de lecture pour quatre lecteurs types:
<abstract>
de la partie introductive d'une grande section de
l'hyper document.]<blockquote>
et marqué de l'attribut role =
rec.Les infobulles seront générées à la fin et comprendront:
Chaque métadonnée, enrichissement et schème d'encodage est
présentée sous la forme d'un tableau. Chaque attribut table/@role
contient un code permettant l'indexation des infobulles selon la convention
suivante:
Suite à la réunion du 22 janvier, le glossaire comprendra:
role = ret
(pour: retenue) appliqué à
un élément glossdef
marquera les définitions qui seront retenues
et affichées à la fin2003-10-24 - Jean-François Hamel, Diane Girard et Christian Rémillard - <GRDS>